Dans le contexte des discussions, au niveau européen sur une directive relative au devoir de vigilance des entreprises et de la multiplication des actions judiciaires sur ce fondement, VingtRue et No Com ont organisé un petit déjeuner conférence pour réfléchir aux opportunités réputationnelles et juridiques pour les entreprises.
Les associés de VingtRue ont eu le plaisir d’accueillir dans leurs locaux des acteurs des secteurs du luxe, de l’énergie, de l’industrie de la finance, de la santé ou encore de la tech’, et de réunir à la fois des directeurs juridiques, de la communication ou encore des directeurs RSE.
Convaincues de la nécessité de croiser les approches et les expertises Julie Fabreguettes et Sarah Becker étaient accompagnées par Charles de Beistegui de No Com afin de proposer des axes de réflexion pour faire de la vigilance un instrument juridique maîtrisé, mais également une opportunité transformatrice.
La proposition de directive européenne, telle qu’amendée par le Parlement européen, prévoit d’élargir le devoir de vigilance aux entreprises de plus de 250 salariés et de plus 40 millions de chiffre d’affaires.
Ces nouvelles obligations de reporting viendraient s’ajouter à la CSRD adoptée le 14 décembre 2022 visant également à renforcer et harmoniser les obligations des entreprises en matière de reporting ESG.
Fondées sur une forte demande de la société civile, les nouvelles obligations de reporting des entreprises doivent s’analyser en tenant compte du mouvement parallèle d’une plus forte pénalisation des atteintes à l’environnement.
